Voilà, c'est très simple : ce blog s'arrête.
La 1ère raison, c'est que j'ai perdu le fil de mes objectifs.
C'était agréable de se focaliser sur des thèmes lorsque j'avais plus
de temps, mais maintenant c'est une corvée plutôt qu'une
motivation.
Comme le contenu principal du site était justement mes objectifs, je
n'ai plus rien à écrire ici...
La 2ème raison, c'est que tout le côté technique est vieillissant. Le site n'est pas adapté pour les mobiles, et le style violet/bleu a une dizaine d'années. Il me faudrait des mois avant de rattraper ce retard.
La 3ème raison, c'est que mon "public" est sur les réseaux sociaux. Le réseau social permet de "pousser" le contenu plus efficacement qu'un site isolé. Récemment, j'ai publié ma carte de voeux sur facebook et elle a eu 56 "likes", sans compter les commentaires. Dans mes précédents articles, j'étais obligés de publier le lien sur facebook pour avoir un peu de visites sur le blog.
Et enfin, les réseaux sociaux ont désormais des outils bien meilleurs que ce que je pourrais faire moi-même. Là, je suis en train d'écrire ce texte dans un éditeur, et je vais ensuite l'envoyer par FTP sur le serveur de chez free, en l'ayant renommer correctement, etc. Sur n'importe quel réseau social, on tape, on mets en gras, on valide, et hop, c'est fini. Et on peut utiliser l'appli pour le faire de n'importe où...
En fait, j'ai prévu de continuer à écrire, voire même de le faire plus souvent, vu que ça devrait être plus facile. Pour continuer à suivre mes futures aventures, vous pouvez me suivre :
À très bientôt !
Pour une fois, j'ai anticipé mon bilan trimestriel de quelques
jours... et puis je me suis dit que j'avais le temps.
Soyons positifs, je suis moins en retard que la dernière fois ;)
Dans le dernier épisode,
j'avais décidé de passer aux systèmes pour améliorer mon engagement.
J'ajoute cette section pour expliquer un peu plus en détails ce que j'entend par "système", puisque ce n'était pas réellement clair.
Un système, par rapport à un objectif, c'est un processus plutôt qu'une cible. On définit le chemin plutôt que la destination. Cela induit de mettre en place son environnement pour maximiser ses chances de réussite, plutôt que de regarder son but sans savoir par où commencer. C'est transformer son but en un cheminement.
En pratique, ça permet d'avoir des choses plus précises. Au lieu de "perdre X kilos" (par quoi commencer ?), on préfèrera "noter pendant 1 semaine ce que je mange, voire ce que je peux modifier, et tester la semaine suivante". Dans ce cas, on va peut-être se rendre compte que ce n'est pas un problème de nutrition, mais d'activité physique, et on pourra ajuster.
Cela aide également pour créer quelque chose, comme un article ou un programme. Plutôt que de "faire X pour la fin du mois", on pourra commencer par "chercher une idée, proposer un plan/prototype et finaliser, en faisant un point chaque lundi". Dès le 1er lundi, on peut voir si on s'achemine vers l'objectif ou non.
Pour moi, les principaux avantages sont : un suivi plus resseré, un déroulement plus détaillé, et la flexibilité d'ajuster au fur et à mesure.
Je suis très content de cet objectif :) Les 5 personnes ont été très contentes de participer au projet. De mon côté, il y a au moins 2 personnes que j'aurai aimé ajouter, mais il a fallu faire une sélection, et de toutes façons, je garde la liste ;)
J'ai organisé notre 1er Google Hangout, et une fois qu'on s'est sorti des embrouilles de compte google et de plugins, c'était bon. Le seul point négatif, c'est qu'un des participants n'a pas pu nous rejoindre (contrainte pro), donc au lieu d'être 5, on était 4.
Les échanges du Mastermind sont confidentiels, mais je peux dire que les participants ont été très agréables. J'avais peur de devoir meubler mais finalement, on est presque arrivé à court de temps. Les participants, qui se voyaient pour la 1ère fois, ont échangé entre eux. Et on a terminé par faire un petit tour de table des projets de chacun (histoire de faire un suivi pour la prochaine fois).
Donc c'est un succès ! Le plus difficile maintenant, ça va être de maintenir le groupe. J'ai défini le lundi comme le jour où je dois m'occuper de relancer le mastermind chaque semaine.
He ben celui-ci est râté comme "objectif" mais réussi comme "système" :)
Je n'ai pas réussi à acheter un journal par semaine. Je passais trop tard devant le marchand de journaux, et puis en fin de journée, je n'étais pas super motivé.
Par contre, j'ai reçu une offre pour m'abonner à plein de magazines, comme j'en reçois souvent. Vous savez le truc avec des vignettes à coller. Il y avait le Courrier International dans les magazines proposés, et j'avais déjà eu l'occasion d'apprécier les articles internationaux publiés dedans. En bonus, une tablette low-cost et un magazine pour madame, et donc me voilà abonné au Courrier International pour au moins 1 an.
Depuis 2 semaines, j'ai eu l'occasion d'en apprendre sur Daesh, sur le tourisme à Benidorm (Espagne) et en Corse. C'est agréable d'avoir des articles de fond, avec la réactivité d'un hebdomadaire. Le numéro d'aujourd'hui est sur l'Europe et sa politique migratoire (ce qui a une saveur particulière quand tout le monde parle de gros sous pour sauver la Grèce...).
Donc c'est déjà réussi : j'ai un système qui va me "forcer" à lire des articles de fond sur l'international.
J'ai assez peu avancé sur ce sujet, parce que je comptais sur mon collègue de promo pour tester son CRM (logiciel de gestion de clientèle) : CremeCRM. Il faut que j'avance là-dessus ou alors j'en essayerai un autre, je pense qu'il doit y en avoir un paquet en logiciel libre.
Plus j'avance dans ce projet, plus je me dis que je pourrais
développer davantage le côté business.
J'ai découvert que je fais 2 erreurs qui me pénalisent
grandement pour mes ventes.
Premièrement, je ne fais pas suffisamment de suivi, donc je me
souviens mal de mes clients, et je ne relance pas pour vendre plus.
Deuxièmement, et c'est à cause de mon côté geek et cartésien : je
n'utilise pas assez le téléphone. Le téléphone est bien plus
efficace pour convaincre, et le fait d'avoir un retour direct permet
d'ajuster l'offre pour outrepasser des objections. Vendre à l'écrit
est finalement plus difficile.
L'autre question qui se pose, c'est comment structurer mon
offre ?
J'ai essayé de vendre plein de prestations (pub, mailing, site web,
formation, etc.), et ce serait bien d'avoir une offre claire, et
d'avoir un bon argumentaire pour vendre tout ça.
Pour le 1er octobre, cela me fait 2 choses à voir.
Tout d'abord, avoir trouvé/installé un logiciel libre de CRM, de
préférence avec interface web.
L'autre chose, c'est de trouver un cours en ligne sur la vente et/ou
le marketing, pour pouvoir structurer mon offre commerciale et
savoir la vendre efficacement.
J'ai réservé le vendredi comme jour pour développer tout ça.
Normalement, j'ajoute un objectif chaque trimestre, mais cette fois-ci je préfère garder mon temps. J'ai acheté une maison (Cf trimestres précédents), et je vais être très occupé sur les mois qui viennent !
Et puis surtout, je vais déménager, et il va me falloir du temps pour (di)gérer ce changement. Plus proche des uns, plus loin des autres, d'autres contraintes, mais surtout... de nouvelles opportunités !
Vraiment, il faudrait que je comprenne pourquoi est-ce que je fais
toujours mes bilans de trimestre avec autant de retard à chaque fois
:(
Comme à chaque fois, vous pouvez retrouver
le dernier épisode, qui
explique ce que j'ai choisi de faire ce trimestre.
Nous avons fait beaucoup de visites, à tel point qu'on a pensé à un moment qu'on ne trouverait pas. Mais finalement, après plus d'une trentaine de visites avec ma chérie, nous avons enfin réussi à trouver des maisons qui nous plaisent, en élargissant notre recherche de départ vers le Var.
Depuis janvier, il y a eu : une première proposition qui n'a pas abouti, une autre maison qui nous a vraiment plu mais qui avait de l'eau dans le vide sanitaire, des agents immobiliers parfois très bons parfois très mauvais, des particuliers qui sur-évaluent, et des maisons de 100m² dont une bonne partie n'a pas été déclarée...
Je suis très content d'avoir fait mon programme de récupération des annonces. Il nous a permis de répondre très vite sur les nouvelles annonces, et donc d'être dans les 1ers à faire une offre.
Donc l'objectif est réussi, mais maintenant il va falloir s'attaquer au financement et trouver une banque pour le prêt...
Je connais très peu de personnes autour de moi qui tiennent publiquement des objectifs. En fait, il n'y a qu'Axel sur facebook. Donc je n'ai que mon cas personnel pour expérimenter ce qui fonctionne ou pas.
Récemment, je suis tombé sur un article du Wall Street Journal : le secret du succès de Scott Adams : l'échec. Scott Adams est celui qui dessine une parodie de la vie de bureau sur Dilbert.com.
Il a récemment publié un livre où il explique que le succès ne vient pas de la passion, mais que c'est la passion qui vient du succès. Il a résumé son idée dans une présentation super sympa.
Au passage, il en profite pour expliquer que pour réussir, les objectifs doivent être remplacés par des systèmes. Avoir un objectif, c'est passer 95% de son temps à être en défaite. Et au moment où on l'atteint, on est content mais en même temps, on perd ce qui nous donnait du sens.
Un système va être plus efficace et agréable. Plutôt que de regarder où on va, on va plutôt créer un environnement qui favorise la réalisation du but. Un système permet de construire tranquillement son chemin vers l'objectif, tout en nécessitant moins d'énergie. On rend le voyage agréable et instructif, pour mettre toutes les chances de son côté.
En faisant le bilan de ce trimestre, je me suis rendu compte que je tombais exactement dans les travers des objectifs : 2,5 mois sans avancer, pour ensuite sprinter pendant 2 semaines, pour finalement réussir au dernier moment. Et ensuite mettre des objectifs moins difficiles pour être un peu plus tranquille...
C'est pourquoi à partir de maintenant, mes objectifs seront transformés en systèmes.
Je n'ai pas trop avancé sur cet objectif, parce que je n'ai justement pas de système pour avancer. Donc je vais (re)commencer par définir le système que je veux voir en place.
Techniquement, ça sera un Google Hangout de 1h, avec 4-5 personnes, où chacun aura 10-12 minutes. A priori, on pourrait expliquer un article sympa, discuter d'un problème ou partager son écran pour une présentation. Je vais probablement diriger les premières séances, pour ensuite voir ce qui fonctionne ou pas.
En réfléchissant sur le thème, je suis tombé sur 2 expressions intéressantes : « Amélioration Continue » et « Avantage Cumulatif ». L'idée est donc de discuter de ce qu'on peut rendre meilleur progressivement, et comment cumuler tout ça pour avoir les meilleurs résultats.
Pour les potentiels candidats, j'ai déjà une liste, mais il faut que je fasse une sélection cohérente. Sur 10 personnes, j'ai 5 ingénieurs, 3 docteurs, 2 profs, 4 entrepreneurs, 1 femme, 3 espérantistes, 4 linuxiens, 4 musiciens. À la réflexion, cette sélection représente assez bien ce qui me motive dans la vie. Et ça va être difficile de faire une sélection cohérente, équilibrée et diversifiée...
D'ici le 1er juillet, le système, c'est de faire un groupe cohérent, et de contacter les gens, un par un, pour leur proposer de faire partie du groupe. En bonus, j'aimerai bien avoir une ébauche du planning de la 1ère réunion (présentation de chacun, etc.). Pour faire avancer ce système, j'ai réservé un créneau chaque semaine, le lundi.
Je suis très clairement en retard pour celui-là, puisque je n'ai acheté qu'un seul magazine : Harvard Business Review. Bon, OK, je ne l'ai pas encore ouvert...
La 1ère difficulté que j'ai eu, c'est que les vendeurs de journaux sont fermés assez tôt, et qu'il y en a assez peu. Je suis même rentré dans un tabac qui venait d'arrêter son activité presse... Mais maintenant, c'est OK, j'ai trouvé une presse pas très loin de mon boulot.
Pour le 1er juillet, le système est d'acheter un hebdomadaire/mensuel tous les jeudis en passant devant le vendeur de journaux, et de le lire pendant le weekend suivant. Si je fais ça jusqu'au 1er juillet, je devrais avoir une bonne idée des journaux qui me plaisent ou non.
La Liste Salsa d'Olivier est un site qui fonctionne bien avec assez peu d'entretien. Mais j'aurai vraiment besoin de systématiser la partie "vente" du site.
Je propose des prestations payantes (pub, mailing, etc.), mais je n'ai pas d'outils ni de processus pour gérer correctement les opportunités qui se présentent à moi.
Pour le 1er juillet, je vais déjà clarifier le
processus de vente que je devrais avoir.
Quoi vendre ? Comment proposer mon offre ? Quand et comment relancer ?
Comment finaliser une vente ?
J'aimerai bien avoir essayé
CremeCRM,
qui est développé par un copain de promo de l'ESIL.
Doucement, je commence à prendre conscience que je remplis trop mon temps. Il faut que j'arrive à me dire qu'il faut dire non à certaines opportunités dans la vie... Libérer du temps pour le remplir ensuite, ça ne sert qu'à en faire plus.
Je crois qu'il faut simplement choisir qui on veut être (politicien, geek, musicien, poète, chercheur, etc.) et arriver à ne pas regretter le reste.
Bonne année, bonne santé, et des objectifs réussis à la fin de l'année ! C'est vrai que dans le dernier épisode je n'ai pas été très audacieux, pour me donner un peu de liberté cette fois-ci.
J'avais prévu de participer un peu plus à la distribution Linux que j'utilise (Mageia), à traver le triage de bugs (pour que les problèmes soient corrigés), et l'empaquetage de logiciels (pour qu'ils soient faciles à installer).
Bon alors, c'est un objectif râté.
Je ne suis pas arrivé à fournir 3 paquets et à fermer 7 bugs.
Je dois être à 1 paquet, et 3 ou 4 bugs fermés.
Mais tout n'est pas perdu. J'ai fait bouger quelques bugs, en allant même jusqu'à chercher un mainteneur sur twitter pour avoir une mise à jour... J'ai aussi fourni moi-même une mise à jour de paquet qui crashait complètement.
Finalement, le plus important dans le logiciel libre, ce n'est pas
tellement de faire son maximum, c'est plutôt que chacun fasse un
minimum.
Même si je n'ai pas fait autant que j'aurai voulu, je vais continuer à
regarder les bugs ouverts : c'est une manière de contribuer qui me
plaît bien.
Wahou, je suis en avance, cet objectif est déjà
réussi !!!
Avec l'aide précieuse de ma chérie, on a visité un sacré paquet de
maisons, du côté principalement de Trets.
La formule magique pour faire ça de manière efficace, c'est de scruter leboncoin, avec mon programme de récupération des annonces, de faire une sélection en enlevant les doublons, et de contacter les vendeurs.
Malheureusement, assez souvent les vendeurs mettent leur bien en
agence sans le mettre sur leboncoin. Résultat : on visite un bien avec
une agence, alors qu'on aurait pu le faire en direct avec le
proprio.
Si les agences trouvent des visites pour un bien, c'est
souvent parce qu'elles mettent une annonce sur leboncoin.
Pour le 1er avril, j'aimerai bien avoir fait une offre sur un des biens qui me plaît. Il y en a quelques uns pour l'instant, mais niveau budget, il va falloir négocier...
J'en ai parlé beaucoup dans le précédent épisode, donc je ne vais pas m'étendre dessus. Techniquement, j'ai testé Google Hangout, et je valide, c'est très pratique, on peut partager son écran, une fenêtre, etc.
Les 2 challenges maintenant, c'est de trouver un thème (entrepreunariat, réussite personnelle, politique et influence, logiciel libre, Espéranto, salsa, etc.) et au moins 4 personnes intéressantes sur ce sujet.
Pour le 1er avril, j'aimerai bien avoir le thème et une liste de candidats potentiels. Comme ça, pendant le 2e trimestre, je pourrai lancer le groupe :)
On est fin janvier, et tout le monde a fini d'« être Charlie ». Un bon paquet de gens se sont rués pour acheter un exemplaire d'un journal qu'il n'avait jamais lu auparavant. La liberté d'expression, c'est bien, et puis le terrorisme, c'est mal. Voilà.
Comme objectif pour le 3e trimestre, je veux apporter mon soutien à la presse de qualité. Je vais me restreindre aux parutions hebdomadaires/mensuelles, parce que je veux lire un concentré de bonne information. J'ai prévu d'acheter quelques journaux par semaine, de les tester, et de m'abonner à ceux qui me semblent les plus intéressants. Je pourrai également tester les abonnements à des journaux en ligne, style Mediapart ou Atlantico, pour voir. Si vous avez d'autres idées de journaux, merci de laisser un commentaire :)
Pour le 1er avril : avoir acheté 4 journaux papiers et savoir si je les garde ou pas.
Chaque fois que je lis un ancien bilan de mes objectifs, je suis très content de sentir que mon moi-même du passé pense à me remotiver. Mais en même temps, je mets beaucoup de temps à les écrire (celui-ci, 11 jours) entre le moment où je commence et celui où je publie.
Est-ce que se mettre des objectifs permet d'être plus efficace ?
Est-ce que le fait de les publier est motivant pour ceux qui les
lisent ?
Seulement 1 mois et demi de retard depuis le dernier épisode, je m'améliore.
Alors je suis très fier de pouvoir annoncer que j'ai réussi mon
objectif Inbox Zero.
Le 1er octobre, ma boite était vide.
Alors bien sûr, elle s'est un peu rempli depuis (40 aujourd'hui), mais
ça reste sous contrôle. Voilà comment j'ai fait.
Non, tout le monde ne mérite pas mon temps.
Au début, je trouvais ça prétentieux de penser ça.
Finalement, je me rends compte qu'on devient finalement esclave de sa
propre gentillesse.
Est-ce qu'il est vraiment nécessaire de répondre, point par point, à
un courriel de 5 paragraphes de la part de quelqu'un qui ne changera
pas d'avis ?
Si quelqu'un me demande une information sans avoir cherché un minimum,
est-ce que je vais vraiment passer plus de 3 minutes à lui faire une
réponse ?
Dans la même veine, la plupart des messages qui ne sont pas envoyés
personnellement (ex: liste de diffusion, notifications) ne contiennent
que très peu d'informations : je survole et je jette.
Tout ce qui est similaire est traité ensemble.
Par exemple, je reçois des liens vers des vidéos de développement
personnel tous les 2-3 jours, ainsi que des demandes de modifications
pour la Liste Salsa d'Olivier un peu n'importe quand.
Lorsque je traite mes courriels, je regroupe
toutes les vidéos pour les voir à la suite, et quand je modifie la
Liste Salsa, je fais tout en même temps.
En bonus, le traitement est plus efficace parce que j'ai toute
l'information regroupée.
Je me force à traiter mes courriels en commençant par le plus ancien.
J'efface rapidement tous les courriels rapides (notification, "merci,
A+", etc.), mais dès que je prends du temps, je commence par le plus ancien.
Rapidement, à force de voir l'e-mail se rappeler à mon souvenir,
sa vraie nature apparaît : soit c'est quelque
chose qui nécessite du temps qu'il faut trouver, soit je suis bloqué
par quelque chose, soit ce n'est finalement pas important, soit j'ai la
flemme.
Chaque cas a son traitement : je trouve du temps, je débloque, je
jette ou j'éteins.
Tous les messages finissent soit à la poubelle, soit en archive.
Si le message appelle une action, soit elle est faite tout de suite en
jetant le message, soit elle est différée et j'archive le message (en
m'ajoutant une tâche à faire).
S'il n'y a pas d'action, j'archive les messages qui peuvent avoir une
utilité future, les autres finissent à la poubelle.
Il faut un système de tâche et un système de lecture
différée.
Le système de tâche, c'est pour les courriels du style : "Voici les
infos pour le logo à faire pour dans 2 semaines...".
Vous n'allez pas faire le logo tout de suite, donc il faut vous
ajouter une tâche (j'utilise
Remember The Milk), tout
en archivant le courriel.
De la même manière, si vous recevez des listes de liens à lire, vous
pouvez les survoler en les enregistrant pour les lire dans les
transports ou dans les files d'attente.
J'utilise Framabag (wallabag
hébergé chez Framasoft). Il y a une application smartphone disponible
pour emporter les articles avec soi.
Voilà. Bon courage à ceux qui veulent se lancer :)
Mageia 4 installé depuis la dernière fois, c'est vraiment un bon système. Pourtant, j'ai des goûts un peu exotiques : GNOME 3, emacs, thunderbird et firefox backporté à la main.
J'avais prévu de contribuer à travers de l'empaquetage de logiciels, puis du test de mises à jour. Le problème de l'empaquetage ou le test, c'est qu'il faut avoir une Mageia 4 (ou Cauldron) sous la main (ou en ssh) pour tester, et que ça restreint les moments où il est possible de conribuer. En gros, pour moi, ça veut dire seulement le soir assez tard.
Quand j'ai commencé à valider des mises à jour, j'ai finalement trouvé
quelque chose que je pourrais faire
depuis le web : trier des bugs.
Ça nécessite un peu de connaissance technique, et ça fait avancer la
qualité globale de le distribution.
En plus, je viens de voir à l'instant que la distribution est actuellement
gelée parce qu'elle est en phase de stabilisation pour Mageia 5, donc
c'est une alternative pratique à l'empaquetage.
Objectif pour le 1er janvier 2015 : Reprendre la maintenance de mes paquets, faire la validation d'au moins 3 paquets pour Mageia 4 x86_64 et faire résoudre au moins 7 bugs.
Voilà, c'est bon, j'ai changé de job (voir mon linkedin), donc on reprend la recherche immobilière. Ce sera dans le coin d'Aix-en-Provence, plutôt au Sud ou à l'Est. Je vais essayer d'anticiper un peu pour avoir une idée des coins à visiter.
Pour fin 2014, il faut que j'ai déjà une carte/liste des
localités intéressantes, pour orienter les visites.
Pour le 1er trimestre 2015, je garde le même
objectif :
avoir fait au moins 5 visites, et
savoir ce qui est possible sur le financement.
C'est un vieux rêve que j'ai : un groupe de gens brillants, avec qui je pourrais discuter régulièrement. Plus j'en parle, et plus j'ai une idée précise des gens qui pourraient correspondre.
Sur la forme, je suis en train de tester Google Hangout, et c'est super bien fait. Multi-plateforme, utilisable en 1 clic sous linux, avec des "applis" de prise de notes et de dessin.
Sur le fond, j'ai encore pas mal de boulot : comment animer le
groupe ? Chacun pourrait exposer un de ses problèmes, et profiter d'un
retour des autres membres à la réunion suivante.
Et pour ceux qui n'ont pas de problèmes ?
Ou alors un commentaire d'un contenu (lien, bouquin) intéressant ?
Est-ce que le thème est ouvert ou est-ce qu'on assigne un thème par
réunion ?
Voilà, c'est pas facile de savoir ce qui va marcher ou non...
Pour le 2ème trimestre 2015, je veux lancer un groupe Mastermind.
Un groupe Mastermind, c'est « la coordination de savoir et d'effort de
2 ou plusieurs personnes, qui travaillent à un but commun, dans un
esprit d'harmonie ».
D'ici la fin de l'année, ce serait pas mal d'avoir une liste de gens
(max 8, pour faire un groupe de 5) et d'avoir relu ce
bon
article pour faire fonctionner un groupe mastermind.
Alors voilà, il est 2h du matin le 12 novembre, et il faudrait que je trouve un truc un peu motivant pour terminer. Ouais, ben pas cette fois.
Les 10 minutes que je vais gagner à ne rien écrire ici seront autant de sommeil en plus pour me rapprocher des mes objectifs demain matin :)
Voici le bilan que j'avais prévu pour le 1er juillet.... que je fais le premier jour de septembre ! 2 mois de retard, c'est un record je crois, donc je vais essayer de ne pas écrire des tartines. Et il suffit d'un clic pour retrouver le dernier épisode.
Je suis l'évolution du marché assez régulièrement, et le document que je rédige sur l'immobilier a bien avancé, notamment parce que j'ai vraiment prévu un créneau dans mon calendrier. Pour avancer, j'avais une règle simple : chaque fois que l'alarme du calendrier apparaissait, il fallait juste que j'écrive au moins un petit truc. Et de proche en proche, le document a bien avancé.
L'objectif est réussi et je me suis rendu compte
qu'en plus de l'immobilier, il y a un autre domaine qui touche tout le
monde et qui est mal compris, c'est celui de l'épargne.
Livret A ? PEL ? Compte à terme ? Assurance-vie ? Hmmm, je vais noter
ça dans les objectifs possibles pour le futur :)
C'est vraiment un objectif quotidien, mais je n'arrive pas à m'en rapprocher. J'ai toujours plus d'e-mails qui s'accumulent. La dernière fois, j'avais une centaine de mail en attente, maintenant c'est 280, dont le plus ancien est du 25 juin, c'est-à-dire plus de 2 mois.
Ce qui me mets dedans, c'est que ma boite se remplit vraiment vite, avec parfois des e-mails qui nécessitent du temps. Notamment, des choses à lire, à voir, ce que je ne peux pas faire tout de suite. Donc je laisse en attente. En fait, il me manque un service pour pouvoir lire plus tard un e-mail. Un genre de Pocket/Instapaper/Wallabag mais pour les e-mails, plutôt que pour les liens web.
Et c'est même pire : je viens de passer dans mon dossier TODO (à faire) et je me rends compte qu'il y a des mails que j'avais mis à traiter pour plus tard.... depuis des mois :( Donc le dossier où on stocke les trucs pour plus tard, c'est VRAIMENT PAS une bonne idée !
Alors, comment est-ce que je peux m'en sortir ? En triant mes e-mails
par envoyeur, je me rends compte que je m'abonne à beaucoup de trucs
intéressants, mais qui ne sont pas ma priorité.
Par exemple, récemment, une série de 16 e-mails sur comment écrire et
vendre un e-book.
Et puis aussi, il y a souvent du bon contenu au moment de
l'inscription, et puis ça devient moins bon ensuite. Donc il faudra
que je prenne l'habitude de me désinscrire.
Objectif pour le 1er octobre : Avoir 0 mails en attente dans mon Inbox. Il me reste juste un mois !
J'ai récemment changé de boulot, et dans mes cadeaux de départ, j'ai eu un DVD de Mageia 4 de la part d'un ami qui a eu la bonne idée de lire mon blog :)
J'ai été très surpris parce que la mise à jour de Mageia 3 à Mageia 4 s'est fait sans aucun problème du tout. Pas un message d'erreur qui traine, ou un RPM qui coince, ou une mise à jour obligatoire. Rien, tout nickel du 1er coup.
Ensuite, j'ai repris un peu l'empaquetage pour la distribution, mais je ne fais pas encore tout comme il faudrait. J'ai une liste de paquets à faire, mais ça nécessite du temps, donc c'est sans cesse repoussé.
Ce qui tombe à pic, c'est l'appel de renforts pour la QA. J'ai d'abord cru qu'il fallait s'inscrire à une nouvelle liste de diffusion (adieu Inbox Zero ?) mais finalement, c'est bon, il y a une super page de résumé pour faire avancer la qualité des mises à jour de la distribution en utilisant juste le traqueur de bugs :)
Objectif pour le 1er janvier 2015 : Reprendre la maintenance de mes paquets et faire la validation d'au moins 3 paquets pour Mageia 4 x86_64.
Pour le 1er trimestre 2015, on repart sur l'immobilier ! Tout d'abord, je vais reprendre les recherches immobilières, mais sur un autre secteur. L'objectif au 1er avril est d'avoir fait au moins 5 visites, et savoir ce qui est possible sur le financement.
Pour le 2ème trimestre 2015, je veux lancer un groupe Mastermind. Un groupe Mastermind, c'est « la coordination de savoir et d'effort de 2 ou plusieurs personnes, qui travaillent à un but commun, dans un esprit d'harmonie ». Le but peut être un truc précis, comme la perte de poids, ou beaucoup plus large, comme la réussite professionnelle ou le succès. J'avais déjà essayé de lancer ça il y a quelques années et ça avait été un échec, surtout pour trouver des gens. J'ai déjà dans l'idée plusieurs personnes qui pourraient convenir cette fois-ci. Pour mémoire, j'ai également trouver un bon article pour faire fonctionner un groupe mastermind.
Voilà, c'est ça, 1 mois. Pour faire l'Inbox Zero, ce qui n'est déjà pas simple. Mais avec en bonus la rentrée, et toutes les activités qui reprennent, et un nouveau boulot où il faut faire sa place.
Allez zou, j'ai relu à l'arrache, je publie. De toutes façons, personne ne lit quand je ne mets pas de mots en gras, et depuis qu'il y a facebook, plus personne ne commente en dessous de l'article ! :)
Après pas mal d'absence, voici le retour de mes récits de voyage ! Pour la 1ère fois, je suis parti en couple, pour la belle île de Sardaigne :)
Pourquoi la Sardaigne ? Déjà parce que c'est le pays d'origine des grands-parents de ma chérie qu'elle n'a jamais visité et que c'est pas très loin en partant de Marseille.
Il y a aussi l'avantage d'être un pays européen et frontalier, ce qui
facilite les formalités (une simple carte d'identité suffit) et il n'y
a pas de change de monnaie.
J'ai quand même fait la blague à ma chérie la veille en lui racontant
qu'il nous faudrait retirer des « euros italiens »,
et j'ai bien rigolé en voyant sa tête :)
On a bien flippé jusqu'à 3 jours avant, puisque la SNCM était en grève, pour sa 3e semaine consécutive. Finalement, il n'y a eu aucun soucis, mais on y réfléchira à 2 fois avant de repasser par la SNCM.
Départ le dimanche matin avec le Jean Nicoli à Marseille Port 4 : le système est efficace, on n'a pas à sortir de la voiture jusqu'au parking en 4 files, juste avant l'embarquement.
Une fois embarqué, on a fait le tour des différents ponts du bateau. On a l'impression que c'est un vieux bateau de croisière des années 90, reconditionné en transport de véhicules et passagers. La page wikipedia du Jean Nicoli révèle qu'il a été mis en service en 1998 sous le nom de Pasiphae Palace par un armateur grec.
Sur le papier, le navire est équipée d'une piscine d'eau de
mer.
Comme vous pouvez voir sur les
images
de la piscine du Jean Nicoli, il vaut quand même mieux éviter
d'être 20 à la fois dedans...
Heureusement pour moi, l'eau (de mer) était plutôt froide, donc j'ai
été le seul à me baigner.
À noter : il n'y a aucune cabine pour se changer, mais des douches
(ouvertes) d'eau douce sont disponibles en dessous.
Après une journée de bateau, nous avons été heureux de retrouver la terre ferme au port de Porto Torres, pour le soir. Nous avons fait le choix de prendre un hôtel un peu plus loin que Porto Torres, dans la ville de Stintino, à 30km. L'hôtel était dans un petit port de pêcheurs.
L'hôtel, c'était
Il
Porto Vecchio.
Celui qui nous a accueilli parlait français, ce qui est appréciable.
L'hôtel est une grande maison de ville qui a été aménagée pour faire des
chambres (peut être en achetant les maisons mitoyennes).
Pour accéder à sa chambre, on passe par le couloir de la maison, puis
on passe dans le salon-accueil qu'on traverse pour ressortir du côté
des chambres.
En gros, on traverse un peu « chez mémé » pour rentrer et sortir de l'hôtel.
La chambre était grande, propre, avec un lit double et un lit simple supplémentaire. Douche et sanitaires récents avec un bidet. Pour une raison que j'ignore, la plupart des chambres en Sardaigne ont des bidets.
Ensuite, on est sorti trouver un petit resto, pour notre première soirée sarde. En suivant le bord de l'eau, on est arrivé sur un resto sympa, avec des produits typiques. Entre autres, on a pris une entrée composée de fromage fondu sur du « pain dur » (fine couche de pâte très cassante) et une « seada », une tourte de fromage, frite et arrosée de miel.
C'était la soirée de la finale de la coupe du monde de foot, donc on n'a pas pu se soustraire à l'écran géant en terrasse, mais c'était supportable. On a continué à se balader dans les rues, et les commerces (notamment les magasins de vêtements) étaient encore ouverts alors qu'il était presque 23h.
Le petit déjeuner est servi dans une salle de la maison principale, et on a vraiment l'impression d'être chez mémé, puisque le Nesquick est posé sur la vieille machine à coudre de déco. On a bien déjeuné, il y a un peu de tout, sur la grande table du salon.
Ensuite, on est parti pour Stintino. C'est endroit avec de belles villas, de très belles plages d'eau bleue claire, mais pas (encore ?) remplies de touristes. Peut être aussi que les locations ne sont pas vraiment abordables, ou alors que le fait d'être au Nord-Ouest de l'île rend cette ville moins attrayante (la côte Est est plébiscitée par les Italiens).
C'est pendant cette journée qu'on a traversé l'île d'Ouest en Est. La 1ère étape a été une ville que j'ai trouvé vraiment jolie : Castelsardo. Une ville avec un port en bas, un château en haut, et la ville entre les 2, coincée entre 2 arêtes de roche.
Après un bon paquet de kilomètres dans des décors agricoles plats et
jaunes comme le veut la saison, on est arrivé tout au nord de
l'île, à Santa Teresa di Gallura.
Les rues commerçantes convergent vers la place principale, où se
trouve la mairie, et (surtout) des restaurants.
Deux pizzas plus tard, nous avons continué le petit tour de la ville,
pour trouver, en contrebas, des plages pleines de touristes.
À noter : depuis Santa Teresa, on voit les falaises de la
Corse, pas très loin de Bonifacio.
En continuant le bord de mer, on est arrivé à Baia Sardinia, ville entièrement touristique tournée vers sa baie maritime. L'endroit est agréable puisqu'on peut trouver facilement des commerces (glaciers, terrasses, restaurants) avec vue sur la mer. Haaa, une bonne glace sur un banc face à la mer...
Le contraste est saisissant quand on est arrivé à Poltu Qatu. Avec ma Clio 2 dont le vernis s'effrite, il est clair que je ne pouvais pas trop rivaliser avec les BMW/Mercedes/Ferrari du parking. Véritable ghetto de riches, tous les batîments sont blancs et les espaces verts sont entretenus. Pas de plage ici, mais plutôt une marina avec des yachts.
Ouf, enfin la fin de la journée, en arrivant près de Porto Cervo. Là aussi, une ville tournée vers sa marina de yachts, mais en un peu plus grand. Il est presque plus facile d'y trouver une bijouterie ou un magasin d'article de luxe qu'un restaurant.
Ce qui est assez déroutant, c'est que ces villes de bord de mer n'ont
pas à proprement parler de centre qui concentre les services et les
commerces.
Mais finalement, on a réussi à trouver un restaurant près de la
capitainerie, et heureusement parce l'hôtel nous a averti qu'il ne
faisait pas de petit déjeuner...
Ha oui, au sujet des restaurants : comme dans certains pays méditerranéens, le couvert est payant, c'est-à-dire qu'il y a quelques euros à payer pour chaque personne autour de la table (à savoir pour les familles nombreuses...). On refusera de vous servir l'eau du robinet, il faut donc prendre de l'eau en bouteille. Et en ajoutant le « prestige » de Porto Cervo, ça fait quand même 35€ pour 2 plats de pâtes (très bien cuisinés) + 2 couverts + l'eau.
Alors là, on commence par le pire hôtel du voyage : la Résidence Sopravento. Déjà, on nous explique que le petit déjeuner, qui n'est pas compris dans la chambre, ne peut pas être pris en option, alors qu'il y a un restaurant attenant à l'hôtel. Mais le plus pénible, c'est d'être réveillé par la lumière parce qu'il n'y a pas de volets, et par le bruit de la route à proximité. Si on ajoute le manque d'eau chaude de 9h à 10h, avec personne à l'accueil pour gérer le problème, on en oublierai presque le gecko écrasé derrière le frigo et le manque de wifi. C'était la chambre 12.
On prend la route direction Porto Rotondo, qui est connu comme étant également un endroit de tourisme haut-de-gamme pour portefeuille et yachts XXL. Le port se poursuit en une belle marina, pleine de belles villas avec vue sur l'eau.
Ma voiture commençant à avoir soif, nous nous sommes arrêtés dans une
station service où le carburant était le moins cher.
Pour 1L de diesel, comptez facilement 1,60€.
Le sans-plomb est environ 10-15 eurocentimes au-dessus.
Les pompes 24h/24h fonctionnent soit par cash, soit par carte prépayée
(pas de CB). Il faut donc avoir suffisamment de billets pour pouvoir
remplir, par tranche de 10 ou 20€.
Nous avons fait des courses à San Teodoro, et puis un pique-nique sur la plage avec des produits locaux. Honnêtement, leur pain n'est vraiment pas génial, surtout pour des sandwichs...
Et ensuite, cap sur Osidda ! Nous voulions visiter ce village simplement parce que c'est le village d'enfance de la grand-mère d'Aurélie. Il n'y a pas grand chose à voir, même pas un bar pour boire quelque chose.
Ensuite, nous nous sommes dirigés vers Nuoro, en passant par Bitti. Bitti est une plus grosse ville, avec un grand clocher qui s'élève au centre. Les routes s'accrochent au rocher pour monter jusqu'à Nuoro, ce qui contraste avec les routes de bord de mer qu'on avait jusque là. Nuoro est une grosse ville posé sur le sommet d'une montagne, et on ressent tout de suite le lien entre cette ville et la pierre. Tout est très massif, les routes sont des côtes. Nous avons visité une église où il y a une statue de Jean-Paul 2 parce qu'il est venu célébrer une messe en 1985. Avec un portrait de Jean 23 à côté, l'église commence une collection, on dirait.
Pour revenir, nous voulions reprendre l'autoroute qui retourne vers Orosei, mais nous avons été trahi par notre GPS. Oui, je suspecte que les GPS sont trompeurs en Sardaigne. Théoriquement, presque toutes les routes de Sardaigne sont limitées à 50km/h. Donc pour le GPS, une rue étroite d'un centre-ville est plus rapide qu'un contournement de la ville. Ensuite, les routes de Sardaigne ne sont pas forcément super bien signalisées, donc on passe notre temps à savoir si on doit faire confiance au GPS ou au panneau.
Ce qui fait qu'on a mis environ 45min pour enfin trouver l'entrée de l'autoroute qui menait à Orosei. On pensait qu'après ça, il nous fallait juste suivre la route toute droite et que c'était bon, comme c'est souvent le cas pour les liaisons entre 2 grosses villes.
C'était sans compter sur notre GPS farceur (mis à jour la veille du départ). Pour une raison inconnue, le GPS nous fait sortir de la nationale pour passer par un petit village. Nous suivons tranquillement, jusqu'au moment où le GPS nous fait passer par un petit chemin de terre. On regarde le GPS, et ça n'a pas l'air mal : il suffit d'aller tout en bout de suivre le chemin qui passe par dessus l'eau (un pont ?) et on retrouve la nationale.
Sauf que voilà, en continuant, on se retrouve derrière un troupeau de chèvres, qui avance tranquillement et qui... descend d'un seul coup au niveau de la rivière, dans du sable. Ha oui, donc c'est par là qu'on traverse l'eau : de gros tuyaux de bétons qui canalisent la rivière sur 4m de large. Finalement, le moins évident, ça a été de remonter au niveau des berges, sur un mélange de béton et de sable, avec en bonus aucune perte du côté des chèvres.
On a été bien content d'arriver à Orosei, où on avait prévu de rester 2 nuits de suite. L'hôtel était la Résidence Marina Palace Comme la chambre était en fait une résidence, on avait une plaque au gaz et un frigo dans la chambre. C'est très appréciable, surtout qu'il y a un supermarché juste en face, donc cela fait économiser des repas pris à l'extérieur. L'hôtel est bien, mais il n'y a pas de service de chambre (donc on fait son lit), et on était dans une chambre en sous-sol, du côté de la route, ce qui n'est pas top pour faire la grasse matinée. Il n'y a pas de piscine dans l'hôtel, mais il y a un partenariat avec un hôtel situé à 400m. Nous en avons profité, c'est agréable.
Le 1er soir, on est tombé sur La Taverna, un restaurant typique sur une jolie terrasse à 2 pas du centre. D'ailleurs, la nuit, le centre se transforme en marché de nuit, avec toutes les babioles qu'on trouve aussi sur la côte d'azur : bijoux fantaisies, souvenirs, etc.
Pour la 1ère fois dans notre périple, nous avons choisi de rester 2 jours à Orosei, donc cette journée était à la cool.
Le matin, on a pris le petit déjeuner à l'hôtel pour voir ce que ça donnait. Même si c'est pratique, le petit déjeuner n'était pas exceptionnel et nous avons préféré nous débrouiller avec le supermarché le lendemain.
En restant sur place, nous avons visité Orosei, même si certains monuments étaient fermé. Apparemment, 1 jour sur 2 ça ouvre le matin et l'autre l'après-midi, ce qui n'est pas pratique quand on tombe sur le mauvais jour... Finalement, on est monté sur le haut d'Orosei pour voir le panorama où on voit le fleuve qui se jette dans la mer au niveau des plages.
À côté de ça, il ne faut pas trop sortir du centre touristique, puisqu'en se baladant un peu, on est tombé sur un parc à l'abandon, ave des jouets cassés et un chat mort...
De retour à la résidence, ma chérie a cuisiné des petits plats du coin (pour moi, des gros raviolis), et on a décidé de troquer nos baskets pour des tongues l'après-midi. La résidence étant situé « Via del Mar », on a juste eu à suivre la rue pour tomber sur les plages. Le soleil était bien chaud, aucune ombre, et en comparaison, l'eau était bien fraîche. Heureusement, on a fini la journée dans la piscine de l'hôtel partenaire, où l'eau était un peu meilleure.
Pour finir cette journée sans stress, on s'est fait un apéro avec leur orangina local et leurs chips carrées au paprika. Un peu de glande devant MTV, le reste des petits plats sardes, et une petite balade en amoureux pour trouver des cartes postales, avant de reprendre la route le lendemain.
Après le petit déjeuner, nous avons repris la route en direction de Cala Gonone, pour visiter la fameuse grotte « Bue Marino ». La route monte un peu dans le montagnes, puis un peu après Dorgali, il y a un tunnel qui permet de passer de l'autre côté, et de redescendre sur Cala Gonone.
Une fois arrivés sur le port, on voit des petites cabanes en bois qui se font concurrence pour remplir leurs bateaux pour la grotte. Mais avant de partir pour la grotte, nous avons choisi de faire un tour par l'office du tourisme.
Et là, c'est le drame ;) Au moment de remonter les vitres, celle du conducteur reste coincée en bas. Ce qui est problématique quand on a toutes ces affaires dans la voiture. Donc voilà, nous avons probablement été les 1ers touristes à rentrer dans l'office du tourisme pour demander... un garage. Mauvaise nouvelle : il faut repartir sur Dorgali pour trouver un garage qui peut gérer le problème.
Tant pis pour la grotte :( Nous sommes repartis rapidement vers Dorgali pour trouver un garagiste. Oui, « rapidement », parce qu'en Sardaigne (et peut être en Italie ?), les commerces font des horaires coupés, par exemple, 9h-13h 15h-18h. Finalement, en utilisant un mélange de français, d'anglais, d'italien et de gestes, on est reparti avec une vitre bloquée en position haute, ce qui sera suffisant pour la suite du voyage.
Nous sommes repartis en direction du parc national du Gennargentu, à travers des routes de montagne, jusqu'au parc de Monte Lopene, où nous avons pique-niqué. Pas grand monde sur la route, comme à peu près partout en Sardaigne. Ha si, quelques chèvres ;)
Nous avions pensé pouvoir faire le « Trenino Verde » à Tortoli, comme on ferait un petit train à touriste dans nos villes. Mais en fait, c'est un vrai train qui fait une ligne à travers les villes de Sardaigne. Il y a 2 trains, un dans le sens inverse de l'autre, chaque jour. C'est sûrement très pittoresque à faire, mais il faut donc le prendre relativement tôt dans la journée, pour arriver ensuite dans une autre ville à la fin. Dans ces conditions, je pense que le mieux c'est de le prendre une journée avec 2 nuits d'hôtel à destination, et de faire le retour le surlendemain. Avec une voiture, et étant arrivé l'après-midi, pas de Trenino pour nous (surtout que pour les paysages pittoresques, on a déjà donné).
L'office du Tourisme de Tortoli a la particularité d'être financé par les services qu'elle arrive à placer aux touristes. Lorsqu'on demande ce qu'on pourrait faire à la place du Trenino, et qu'on parle de la plage, l'employée regarde dehors, fait la moue et nous dit quelque chose comme « hmm, la plage, pas aujourd'hui ». Alors qu'il faisait super beau, avec une petite brise. Par contre, à une demi-heure de voiture, il y a une activité payante bla-bla-bla.... Il faut toujours comprendre quels sont les intérêts des conseillers (et c'est pas seulement vrai en voyage).
Dans ces conditions, on préfère aller directement à notre hôtel, et finir la journée à la plage en mode bronzette/bouquin. On a bien fait, la plage d'Arbatax est super et l'eau était vraiment très chaude, à tel point qu'on avait froid en sortant de l'eau en plein soleil. Comme un peu partout en Sardaigne, l'eau était transparente et on voyait passer quelques poissons.
Et on est arrivé au meilleur hôtel du séjour. Cet hôtel, c'est l' Hotel Vecchia Marina. Hôtel très typique, plein de charme, clim et wifi, et on avait une chambre pour 4. Et comme on peut le voir sur les photos de l'hôtel, il y a même un petit salon extérieur pour discuter tranquillement.
Avec une si belle plage, ça aurait été dommage de ne pas en profiter pour faire un petit resto romantique de bord de plage. Ma chérie a essayé de faire l'italienne en commandant un primi piatti (souvent, des pâtes) suivi d'une pizza, mais on se demande toujours comment les italiens peuvent arriver à manger antipasti/primi piatti/secondi piatti/contorni (entrée/1er plat/2e plat/accompagnement) dans le même repas.
On est arrivé à la fin du service du petit déjeuner, c'était correct sans plus. Mais comment font les Sardes pour manger des biscuits aussi secs ?
Ensuite, on est reparti pour retraverser la Sardaigne d'Est en Ouest, en passant par le site classé par l'UNESCO de Burumini. Là encore, des routes de montagnes, mais après une halte au Lago del Flumendosa (lac), on retourne dans la plaine.
Le Village Nuragique de Barumini (Su Nuraxi) est un site archéologique qui date d'il y a environ 3300 ans. C'est intéressant de voir comment le site à évoluer à travers les âges. La visite coûte 10€, avec un bon guide. On a eu la chance de le faire avec un groupe de français, donc on a eu les commentaires en français.
On est passé rapidement par Oristano, où Jean-Paul 2 est également venu faire une visite (« également » parce qu'il est venu aussi à Nuoro, voir Mardi 15, il faut suivre un peu !!!).
Pour faire une soirée un peu typique, plutôt qu'un hôtel, on a choisi
de faire un agroturismo (chambre d'hôte).
On a choisi l'Agriturismo
Sa Loza.
Nous étions seuls, et même si nous avions réservés par Internet, on
s'est rendu compte que rien n'était prêt.
L'établissement est apparemment géré par une famille qui ont
transformé un ferme en auberge pour touristes et mariages.
La dame a tout préparé sur le moment pour que tout se
passe bien, pendant qu'on profitait de la piscine, malheureusement
pleine d'insectes.
À part une porte de douche qui mérite le remplacement, la chambre est
correcte et confortable, mais sans TV/frigo/wifi.
Nous avons pris un repas très typique : petites pâtes en forme de
gnocchis à la sauce tomates, agneau accompagné d'olives, fruits et pâtisseries
sardes pour le dessert.
Il y a également des jeux pour les enfants dans la pelouse.
C'est donc un endroit parfait pour 1 ou 2 jours « comme à la campagne ».
On a pris le petit déjeuner de l'agroturismo dans la grande salle, où il y a la place de faire des banquets de mariage. Au moment de partir, la dame nous explique qu'elle n'a pas de CB, donc on est obligé de payer en cash. En faisant les fonds de poches, on arrive à 100€, sinon on était bon pour un aller-retour à Bosa. La tarif n'est pas excessif pour une chambre à 2, petit déjeuners et repas typique compris.
Direction la côte avec la ville de Bosa, où un fleuve se jette dans la mer. Depuis le château situé sur une hauteur intérieure de la ville, on a une belle vue sur la ville, la grande plage au bout du fleuve et ce qui devait être un ancien port de marchandises. Le coeur de ville est d'ailleurs plutot commerçant, et c'est là que nous avons acheté quelques souvenirs et cadeaux.
En une heure de route, nous voici déjà à Alghero. C'est une ville touristique comme on en n'a pas vu en Sardaigne : ici, piste cyclable en bord de mer, grandes plages d'eau bleue, commerces de bord de plage, vieille ville avec restaurants et animations
L'hôtel était pas mal. C'était l' Hotel Soleado d'Alghero. Chambre un peu petite, mais avec un balcon avec vue mer. Le gros plus de cet hôtel, c'est la piscine qui donne sur la mer, parfait pour un retour de la plage... qui est de l'autre côté de la route. Le petit déjeuner est ce qu'on retrouve habituellement dans un hôtel, avec beaucoup de choix. Par contre, le wifi est payant.
Comme nous sommes arrivés tôt dans la journée, nous avons trouvé un petit resto en bord de mer pour y déguster quelques spécialités, parmi lesquelles une pizza-frites pour moi et pour ma chérie, évidemment, une seada.
Après un tour du côté de l'Office du tourisme où l'employé parlait un très bon français, nous nous sommes rendus du côté de la grotte Neptune. En allant tout au bout de la pointe Est d'Alghero, il est possible de descendre par beaucoup d'escaliers (654 marches selon wikipedia) vers la grotte Neptune (il est aussi possible de le faire en bateau). L'entrée à la grotte est payant (13 € adulte, 7€ enfant). Certains le font en tongs, mais je recommande au moins des baskets et un peu d'eau pour boire dans les (rares) coins d'ombre de la remontée.
Il y avait un site nuragique en revenant vers Alghero, mais c'était payant, et comme on avait déjà fait le principal à Burumini, on a préféré profiter de la plage devant l'hôtel, suivi de la piscine jusqu'au coucher de soleil.
Nous avons visité Alghero de nuit, en cherchant une pizzeria qui ne soit pas trop bondée. Après un tour de la ville, on est finalement tombé sur une pizzeria au 1er étage, avec le four à l'intérieur, et qui n'avait pas la clim. On a failli partir, et puis finalement... on a bien fait de rester, c'est les meilleurs pizzas qu'on a mangé de tout le séjour ! J'ai essayé de retrouver le resto sur Google Maps, c'est au bout de la Via Carlo Alberto.
En revenant, on a pris une glace, sur une place, alors qu'il y avait une grande animation en italien sur le bord du port. Le temps de traverser la fête forraine, et nous étions revenu à l'hôtel pour cette dernière nuit en Sardaigne.
Après un bon petit déjeuner, nous sommes allé visiter Sassari. Malheureusement, ce n'est pas forcément évident de visiter une ville le dimanche, mais on a réussi à trouver une belle église avec des catacombes.
Cette journée avait déjà un goût de retour vers la France, puisqu'on a finalement trouver à manger un MacDo dans une zone commerciale Auchan. Vive les magasins ouverts le dimanche... Même si on a vu sur certains murs que l'arrivée de la zone commerciale n'avait pas fait que des heureux.
Nous retrouvons ensuite notre première et dernière étape, Porto Torres, où nous avons fait un rapide tour du port. Pas grand chose à voir ou à faire, surtout un dimanche, à part une sieste et quelques courses au Sisa.
Avant de prendre le bateau, il ne faut pas oublier de se présenter à la capitainerie pour échanger la réservation faite en ligne contre des billets. Aucune information SNCM, évidemment. La même attente que l'aller pour embarquer, en reconnaissant quelques têtes qui était là à l'aller, et nous quittons la Sardaigne au coucher du soleil.
Assez peu de monde dans le bateau, finalement, et les fauteuils qui nous sont vendus sont vides : peut être que beaucoup ont choisi les cabines, mais aussi parce que les voyageurs fauteuils préfèrent trouver un coin sur une banquette ailleurs sur le bateau. C'est d'ailleurs ce que nous avons fait : si vous dormez sur le Jean Nicoli, allez à l'accueil puis prenez les escaliers pour monter au pont 8. Il y a une salle avec beaucoup de banquettes, parfait pour dormir.
Au bar arrière, il y avait une animation Ricard, mais après quelques
selfies, on a finalement fini le dimanche comme beaucoup de monde :
devant la télé à regarder Capital sur M6 (les télés du bateau ont
la TNT).
Pour ceux qui veulent prendre une douche avant de dormir, il y a
également des sanitaires (dans un couloir à côté des fauteuils) qui
n'ont probablement pas été utilisés durant la traversée.
Au petit matin, après l'annonce du commandant de bord pour les petits
déjeuners (buffet à volonté 9€, enfants 5€ et formule
café-croissant-jus d'orange à 6€), nous sommes arrivés au port à 8h30
comme prévu.
Ces vacances ont été bien chargées : presque chaque jour, on changeait d'hôtel, et on visitait à chaque fois au moins 2 ou 3 endroits. Au bout de 3 jours, on avait l'impression d'avoir déjà eu une semaine de vacances !
En faisant 1200km de voiture, on a bien eu une petite galère avec la
vitre, mais on a eu le plaisir de visiter des coins reculés, et
même de rencontrer des troupeaux de chèvres...
Mais même avec tous ces kilomètres au compteur, nous n'avons pas eu le
temps de faire le sud de la Sardaigne. Pour la prochaine fois ;)
Ce que je retiendrai surtout, c'est que c'était mes premières vacances à l'étranger en duo avec ma chérie. J'espère qu'il y en aura beaucoup d'autres, nous avons d'ailleurs déjà une liste d'idées pour nos prochains voyages :)
C'est toujours pareil : ça continue, et après ça recommence, je publie la suite de mes aventures pour me motiver à devenir meilleur. Et il suffit d'un clic pour retrouver le dernier épisode.
Ça se passe super bien. Je ne suis pas trop fort en langue d'habitude, mais je prends plaisir à faire un peu d'allemand tous les jours.
Je me repose vraiment sur DuoLingo, et je me suis rendu compte qu'il faut quand même un bon niveau pour lire la page des articles "geek" de Die Spiegel. Quant aux cours envoyés par e-mail, je ne les ai même pas ouverts...
Je me suis rendu compte que pour apprendre efficacement une langue, il faut de la pratique régulière (journalière), même un tout petit peu. Ensuite, il faut aussi faire dans l'efficacité et aller vers les mots les plus utilisés. C'est un reproche qu'on peut faire parfois à duolingo : on apprends par exemple les animaux avant les prépositions.
Il me reste 1 mois et demi avant le voyage en Allemagne avec l'HMAP, donc je vais continuer pour au moins comprendre ce qu'il se passe et acheter une bière !
C'est donc un objectif plutôt réussi.
Au sujet des notifications de rappel (pour me motiver),
j'ai désactivé celle de mon téléphone (trop intrusive) que j'ai
remplacée par celle de mon calendrier.
C'est meilleur parce que je peux la repousser si je fais quelque chose
d'autre, et que ça me force à prévoir du temps.
De ce côté-là, je n'ai pas avancé dans l'objectif puisque je n'y ai même pas pensé...
Par contre, j'ai beaucoup appris, puisque j'ai fait des visites, tout en continuant à suivre le marché de l'immobilier, des crédits, etc. Si on ajoute à ça des changements de budget, de localisation et de types de bien, je crois que j'ai quelques bonnes choses à raconter.
Objectif pour le 1er juillet : Prévoir du temps régulièrement dans mon agenda pour avancer sur le document sur tous les points à savoir pour faire un achat immobilier.
Même si la Liste Salsa d'Olivier reste une priorité, je me suis pris au jeu d'essayer de garder ma boîte e-mail à Zero Mail en attente.
Actuellement, je suis environ à une centaine de mails en attente en 4 mois, ce qui n'est pas si mal, le plus ancien datant d'1 mois et demi. D'ici le 1er juillet, j'aimerai retourner à 0 mails en attente.
Je pense qu'il sera utile que je relise les posts de référence sur Zero Inbox.
Objectif pour le 1er octobre : Avoir 0 mails en attente dans mon Inbox.
Cela fait plusieurs mois, voire même années, que je ne contribue plus à la distribution Linux que j'utilise, et c'est assez dommage. En plus, je suis encore en Mageia 3 qui ne sera plus supportée le 19 novembre 2014 comme indiquée sur la page de support Mageia.
Donc ça sera appréciable que je m'y remette surtout pour faire des paquets. Même si je fais sûrement encore des boulettes, ce ne sera pas trop grave, vu que ce n'est pas des paquets super importants.
D'un autre côté, il y a tous pleins de choses qui pourraient aider à améliorer la distribution : un meilleur artwork, des sessions de test sur un type de matériel (ex: les cartes graphiques), de la doc pour faciliter les remontées de bug utilisateur, l'évolution des draktools, la formation de nouveaux empaqueteurs, la gestion des dépôts tiers, ou créer une équipe d'empaquettage rapide (ex: packager les nouveautés rapidement).
Objectif pour le 1er janvier 2015 : Reprendre la maintenance de mes paquets et faire quelque chose qui ait un impact significatif sur la distribution.
Wow, qu'est-ce que ça passe vite ! J'ai parfois l'impression que je gagne du temps pour pouvoir le remplir encore plus.... Il faut dire qu'en même temps j'ai déménagé et que je change de boulot bientôt, donc j'espère que ça va se calmer !
Quand je rencontre quelqu'un qui ne comprends pas qu'on puisse avoir des objectifs à plus de 3 mois, je pose souvent cette question : « Qu'est-ce que tu voudrais avoir réussi à la fin de l'année ? »
He oui, il y a déjà presqu'un an depuis le lancement des objectifs 2013. Pour cette année, je vais rester sur le système de roulement avec un objectif terminé (et donc un nouveau) tous les 3 mois. La fin de l'année est donc le moment de faire le bilan des 3 objectifs du 4e trimestre.
J'ai récupéré mon pèse-personne et j'ai donc pu suivre l'évolution. Le résultat n'est pas si mal, puisque sur un trimestre, j'ai perdu un peu, et cela malgré les fêtes de fin d'année.
Au risque de passer pour un morfal, un repas chez Quick, pour moi,
c'était 1 burger + 1 burger offert + 1 frite + 1 Ice-tea.
Et la conséquence, c'était un effet de balonnement l'après-midi, lors
de la digestion.
J'ai testé de ne plus boire sucré au repas de midi, et j'ai été
surpris de sentir que le balonnement a disparu.
Bizarrement, remplacer un Ice-tea par de la Vittel améliore la digestion.
Et pareil avec un sandwich Subway.
L'autre petit truc efficace a été sur le petit déjeuner du matin.
Comme je n'ai pas vraiment faim à ce moment-là, c'est plus facile pour
moi de me contenter d'un jus d'orange.
Le plus gros problème vient du faire qu'assez souvent, il y a une
« occasion spéciale » (anniversaire, etc.) au boulot, et que
finalement, je me retrouve à manger un pain au chocolat à 10h...
J'avais prévu de tester plus de choses, donc cet objectif est râté, mais je vais essayer de tester encore, sans objectifs, pour progresser encore un peu.
He bien c'est ENCORE une catastrophe.
J'ai tout à porté de main pour réussir : DuoLingo, la page des articles "geek" de Die Spiegel, et je me suis même inscrit à des cours envoyés par e-mail.
Sauf que voilà : je m'en fous, et je fais autre chose de mon temps libre.
Pourtant, le projet d'aller en Allemagne avec l'HMAP est prévu pour fin mai 2014, donc j'ai une date limite à tenir !
C'est donc mon objectif priotaire.
Je reste sur une méthode avec un mix de duolingo (pour la grammaire et le
vocabulaire de base) et de lecture de vrai texte (spiegel.de).
Mais pour être sûr de ne pas pouvoir y échapper, je vais ajouter une
alarme sur mon téléphone pour y penser tous les
jours, et mettre la
page du Spiegel sur chaque onglet
que j'ouvre dans Firefox.
Je verrai si ce genre de contrainte est efficace...
Objectif 1er avril 2014 : avoir des rudiments
d'allemand, pour pouvoir converser de manière simplifiée en
Allemagne.
Depuis que je regarde l'immobilier, ce que je constate, c'est surtout que tout bouge tout le temps. Les aides, les taux, les impôts, dès qu'on passe un 1er janvier, il faut refaire tous les calculs.
Et il faut dire aussi qu'une bonne partie des professionnels de ce
secteur sont surtout là pour faire une grosse marge à tout prix.
On pense aux agents immobiliers, mais ça englobe également les
courtiers en crédit, les promoteurs, les notaires, etc.
Bon, ok, d'accord, y en a des biens.
La seule façon de s'en sortir correctement, c'est de se documenter de manière autonome, pour se faire une opinion.
J'ai déjà un petit programme pour chercher automatiquement les nouvelles annonces sur leboncoin. Logiquement, l'étape suivante, c'est les visites.
Sauf que voilà, je ne sais pas trop ce qu'il faut vraiment regarder pendant la visite d'un bien immobilier. Je sais que ce qui importe le plus c'est l'emplacement, mais après ?
Une fois le bien trouvé, il y a également un processus à suivre, avec des histoires de compromis, de recherche de prêt, etc., et il faut également que je comprenne tout ça.
Objectif pour le 1er juillet : Comme je ne suis pas le seul à chercher, et que ça pourra servir pour mes proches d'ici quelques années, je prévois de rédiger un document avec tous les points à savoir pour un achat immobilier (pour les geeks : c'est sur mon github...).
Pour ce nouvel objectif, mon coeur balance.
D'un côté, cela fait longtemps que j'aimerai arriver à l'Inbox Zero. C'est-à-dire avoir 0 courriel en attente dans ma boîte de réception, donc pas de messages dont on ne sait pas vraiment ce qu'il faut faire avec, et qui traînent.
De l'autre, je sais très bien que je vais encore passer beaucoup de
temps sur la Liste Salsa
d'Olivier, surtout que le site devient international, avec l'ajout
de la Suisse comme pays.
J'ai plein d'idées pour développer le site et le business autour.
Finalement, il est peut être encore trop tôt. Je vais simplement voir lequel de ces 2 objectifs arrive à se faire une place naturellement dans mes priorités, et je déciderai plus tard.
À part moi, je ne connais qu'une personne qui se mets des objectifs : Axel Rousseau (Président d'UFE). Il fonctionne par mois et publie ça sur son compte facebook.
Il n'est pas nécessaire d'avoir de grandes idées, un blog ou quoi que
ce soit pour se motiver à atteindre un objectif qui vous tient à
coeur.
Allez, lancez-vous et laissez-moi un commentaire avec votre
objectif !
Ha que c'est dur de tenir les délais... Depuis mon dernier bilan, vous attendiez de mes nouvelles pour le 1er juillet, j'étais à la bourre presque de 2 mois, donc finalement, j'ai attendu début octobre pour repartir du bon pied !
Sur les 2 derniers trimestres, j'ai changé beaucoup de choses : mon
ordi et le temps que je passe dessus, un peu ce que je mange et pas
mal mes habitudes de sommeil. Ouais, une copine... ;)
Et il faut que j'arrive à concilier ça avec les autres activités :
piscine, aïkido, musique... et cette année, bachata en bonus :)
Ça y est, j'écris cet article depuis mon nouvel ordi i7 8 coeurs, 16 Go
de RAM, 120Go SSD :) C'est un LDLC que j'ai acheté sans OS pour y
mettre Linux Mageia.
Après pas mal d'hésitations, j'ai finalement pris une config avec
seulement la carte graphique intégrée Intel, sans Nvidia Optimum.
J'utilise très rarement la 3D, et comme Nvidia n'a pas vraiment aidé
pour qu'Optimum fonctionne nativement sous Linux, he ben je préfère ne
pas acheter leurs produits.
Bref, je fais du militantisme économique ;)
J'ai également réussi à mettre du code sous github.
Tout d'abord l'Esperanto Toolbar, qu'il faudra que je rafraîchisse un
petit peu. L'avantage de github, c'est qu'il y a un gestionnaire de
bugs intégré à chaque projet.
Le bonus, c'est que j'ai mis également du code que j'ai
fait pour mon orchestre d'harmonie. C'est des scripts PHP pour
rechercher dans notre stock de partitions, et permettre le
téléchargements de documents (ex: partitions retranscrites ou PDF scannés).
Le résultat est encore un peu brut, mais c'est plutôt pratique, et on
vient de lancer ça à grande échelle pour distribuer les partitions de
notre prochain concert.
Ce qui est cool, c'est que tout ça m'a forcé à bien me mettre à git,
et c'est une compétence que je vais pouvoir valoriser sur mon CV :)
Par contre, je ne suis pas arrivé à l'objectif d'avoir des soirées salsa sur tous les départements de bord de mer sur la Liste Salsa d'Olivier. J'ai réussi à avoir des infos à quelques endroits, c'est difficile de trouver des soirées, surtout en été. Je pense que c'est surtout un travail de fond pendant l'année qui fait que quand arrive l'été, les organisateurs continuent à mettre leurs soirées.
He bien c'est une catastrophe.
Je n'ai pas touché à DuoLingo
depuis des mois.
Duolingo a d'ailleurs changé plusieurs fois leurs leçons, donc même
l'objectif que j'avais fixé n'est plus au même endroit.
Heureusement, le projet d'aller en Allemagne avec l'HMAP a été reporté à 2014, donc ça ne va pas me pénaliser pour pouvoir demander une bière correctement sur place.
En rédigeant, je me suis rappelé que Tim Ferriss a une méthode spéciale pour les langues, et j'ai trouvé cet article qui explique comment parler une nouvelle langue sans soucis en 3 mois.
Si vous ne lisez pas l'anglais (ha ben justement...), je vous fait un
petit résumé (ok, c'est aussi un peu pour moi...).
Tout d'abord, le principe d'Effectivité : il faut
garantir le résultat en choisissant le bon matériel, qui dépends de ce
que vous voulez faire avec la langue.
Si vous voulez apprendre l'anglais
pour aller aux USA, ne lisez pas du Shakespeare, mais plutot le New
York Times.
Ensuite, le principe d'Adhérence : il faut tenir sur le long terme, et pour cela choisir un thème qui vous passionne. Le plus simple est de regarder ce que vous lisez dans les langues que vous connaissez déjà, et de trouver cela dans la langue à apprendre. Par exemple, je viens de mettre en favori la page des articles "geek" de Die Spiegel.
Et la dernière partie, c'est de travailler sur l'Efficacité du processus. L'exemple est donné sur le vocabulaire, en apprenant les 100 mots les plus utilisés à l'écrit (soit 50% de ce qui est écrit !) et les 100 mots les plus utilisés à l'oral.
Je vais avoir l'occasion de pratiquer la langue en vrai dans le pays,
donc ça serait dommage d'abandonner, donc :
Objectif 1er avril 2014 (6 mois) : avoir des rudiments
d'allemand, pour pouvoir converser de manière simplifiée en
Allemagne.
La méthode sera un mix de duolingo (pour la grammaire et le
vocabulaire de base) et de lecture de vrai texte (spiegel.de).
J'ai pas pu noter pendant 2 semaines ce que je mangeais, je me suis arrêté après une petite semaine. Je me suis rendu compte que je mangeais presque tous les midis avec une boisson sucrée (ice tea, orangina). Pourtant, de mon point de vue, c'était plutôt exceptionnel... alors qu'en réalité l'exceptionnel était tous les jours.
La dernière fois, j'avais prévu de tester pas mal d'astuces pour
perdre du poids.
Voilà ce que j'ai testé :
en tout premier, j'ai fait un semaine sans boisson sucré à midi,
puis une semaine sans viande rouge.
Il n'y a pas besoin de tester le "strictement 3 repas par jour"
puisque c'est déjà ce que je fais.
Bilan : petite variation... vers la hausse :(
Par contre, il y a quelque chose d'intéressant que j'ai constaté,
c'est la force de volonté que cela nécessite.
Par exemple, remplacer du boeuf par du poulet, c'était pas dur. Par
contre, demander de l'eau à la place de l'ice-tea, ça coûte moralement
(vu qu'on te propose « meilleur » pour le même prix).
J'ai contourné ça en demandant de l'eau directement en début de commande.
Autre truc intéressant : depuis que je suis chez ma copine, je déjeune
moins le matin. Un jus d'orange et une brioche, c'est tout.
Et je n'arrive toujours pas à avoir faim à midi.
Un matin, j'ai tellement joué avec mon téléphone que j'ai simplement
bu un thé... et je n'avais toujours pas faim à midi.
C'était le lendemain d'un gros repas.
C'est peut être ça le problème : trop manger le soir, donc pas faim le
matin, déjeuner quand même, donc pas faim à midi, et donc manger sans
faim et automatiquement, pendant 2 repas sur 3.
Comme j'ai changé d'endroit, je n'ai plus ma balance pour suivre mon poids en continu, donc il faudra que je la ramène pour continuer à tester. Et manque de bol, mon téléphone est capricieux, j'ai été obligé de réinstaller le logiciel que j'utilisais, et j'ai perdu toutes mes anciennes mesures de poids :(
Objectif 1er janvier 2014 :
Donc voilà, je fais dans l'ordre, et là c'est le moment d'investir. La preuve ? Les taux d'emprunt arrêtent de baisser voire remontent, les prix de logements baissent pas mal.
L'immobilier, c'est un peu comme la nutrition : il y a beaucoup
d'avis, beaucoup de croyances, et assez peu de tests chiffrés.
Tout le monde a toujours l'impression d'avoir fait une bonne affaire,
puisque c'est seulement à la revente qu'on s'aperçoit que son bien ne
vaut finalement pas tant que ça.
« Enfin bon, revendre avec 10% de plus value au bout de 10 ans, c'est
pas si mal... » Heu non, c'est moins que le livret A... et c'est de
l'argent bloqué.
J'ai déjà commencé à regarder, et en bon geek, je me suis fait un petit script python (que vous trouverez sur mon github) pour évaluer un peu quels sont les quartiers les plus intéressants pour acheter un appartement dans la région.
Et puis après ça, il faudra bien voir toutes les possibilités de financement, avec les PEL, CEL, trucs de l'employeur, prêt à taux 0, etc. Et d'ailleurs, est-ce que c'est plus intéressant d'acheter du neuf ou de l'ancien ? Le neuf est plus cher, mais les frais de notaire sont réduits...
Objectif pour le 1er juillet : comprendre tout ça, savoir combien je peux mettre dans un appartement, faire des visites et essayer de trouver une bonne affaire dans un bon quartier.
Est-ce que vous vous souvenez de vos bonnes résolutions 2013 ?
He bien il vous reste 3 mois !
Ou plutôt : au 31 décembre, qu'est-ce que vous voudrez avoir réussi
pendant l'année ?
D'un naturel joyeux, positif et curieux, je m'intéresse à beaucoup de choses parmi lesquels la salsa, l'espéranto, la plongée mais surtout l'informatique, le web et Linux.
Même si j'aime programmer, je m'intéresse également aux aspects d'ergonomie, de design et de marketing.
Si vous pensez avoir du travail pour moi, il y a mon LinkedIn et mon CV.
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