On connaissait Google en espéranto, mais voilà que GMail fait une petite vidéo marrante sur leur technologie anti-spam.
La vidéo montre leurs experts anti-spam et la vidéo finit par quelque chose comme « ... et vous pourrez passer plus de temps à faire les choses que vous aimez comme perfectionner votre façon de danser, ou apprendre l'Espéranto ».
Cliquez ici pour voir la vidéo GMail qui vous encourage à apprendre l'Espéranto !
Ça y est, j'ai changé de distribution Linux. J'ai utilisé Linux Mandriva depuis la version 6.0 (Mandrake), jusqu'à la 2007.1 RC1 avec Metisse.
J'ai récemment essayé de faire changer les choses, mais tout leur système est très mal organisé. J'ai l'impression que rien n'est jamais très stable chez Mandriva et qu'ils passent leur temps à remplacer un problème par un autre.
J'ai essayé d'aider à faire des RPMs (installeur de logiciel). Je n'avais rien à empaqueter de spécial, simplement, je voulais apprendre à les faire moi-même et soulager un peu les bénévoles qui passent leur temps à faire ça.
On m'a dirigé vers une doc en ligne. Et c'est tout. J'aurai apprécié trouver une liste de RPMs délaissés par leurs mainteneurs actuels qui auraient pu permettre de commencer doucement, tout en bénéficiant de précieux conseils.
Ensuite, récemment, j'ai rejoint l'équipe de traduction pour le français, dans le but de me familiariser avec le système de traduction pour ensuite traduire en espéranto.
Pour la traduction comme pour tous les logiciels Mandriva, il y a un serveur SVN (travail collaboratif) avec les dernières versions. Une fois récupérés tous les fichiers à traduire et la traduction faite, tout se complique : il faut envoyer tout ça par courriel au responsable du groupe de traduction français qui mets ça sur le SVN.
Apparemment, tout n'a pas été expliqué sur le fonctionnement de SVN : il ne savait pas que SVN se chargeait de faire la fusion de document lorsqu'il n'y a pas de conflit. La responsable faisait ça à la main (et ne souhaitait donc pas forcément que quelqu'un d'autre touche à ces fichiers). Je lui ai proposé un système de « tronc » de traduction et de branches stables, mais apparemment d'habitude les traducteurs traduisent les fichiers en entier (ce qui réduit la probabilité de conflit) et je suis arrivé lors d'une exception.
Ensuite, comme Mandriva a mis en place un nouveau wiki, je me suis dit que ça allait être le début d'un vrai site bien documenté, basé sur un système robuste (wikimedia). On m'a dit que ça se passait sur la liste web-discuss, je me suis inscrit.
Malheureusement, il a fallu discuter pendant des semaines juste pour éviter d'avoir une page d'accueil faite avec des boites mediawiki, juste parce qu'on utilise mediawiki. Pour le contenu, la discussion est encore en cours...
Mandriva est une société commerciale, et elle doit trouver une source de financement pour son fonctionnement. Une des idées a été de créer le club Mandriva. En adhérant à ce club (payant), divers services sont accessibles, comme les ISOs disponibles en avance, des RPM de logiciels propriétaires, etc.
Cependant, cela a été mal perçu par la communauté, créant ainsi des catégories d'utilisateurs, là où on voyait plutôt le logiciel libre comme égalitaire.
Le comble a été atteint quand des drivers propriétaires mais gratuits et redistribuables ont été inclus au club sans être disponibles pour tous. La configuration du matériel pouvait aboutir sur : « Ce matériel nécessite un pilote propriétaire qui est disponible sur le Club. Voulez-vous vous abonnez maintenant ? ». Ce qui est perçu comme : « Vous devez payer pour que votre matériel soit reconnu ».
Je m'intéresse à Mandriva depuis longtemps, et je n'ai jamais compris leur stratégie.
En ont-ils une ? Je n'en sais rien, Mandriva ne communique que pour annoncer des partenariats, des bilans financiers, des nouveaux produits.
Avec le club, je pensais qu'ils pariaient sur une stratégie orientée vers les utilisateurs. Ayant été dans le club pendant plusieurs mois pour avoir contribué à un cours en ligne (encore un truc qui a disparu), je me rendu compte que le service suis rendu ne valait pas le prix demandé.
Peut être que la stratégie est maintenant « orientée grands comptes », mais dans ce cas, je ne vois pas pourquoi Mandriva continue à faire semblant de créer une communauté d'utilisateurs grand public.
À un moment, il y avait aussi le programme Academia, pour le monde éducatif. Je suis tombé dessus par hasard depuis le club, je n'en ai jamais entendu parler depuis.
Depuis que j'utilise Ubuntu, au moins, j'ai de jolis sites web. C'est vraiment un plus pour l'utilisateur final d'avoir des sites web attrayants : on sait qu'on a fait le bon choix.
Un des atouts d'Ubuntu, c'est quand même qu'il n'y a pas trop besoin de contributeurs externes : le milliardaire qui l'a créé peut financer à fonds perdus des professionnels venant de chez Debian pour qu'ils travaillent sur Ubuntu.
Et justement, avec Ubuntu, on a un autre avantage, c'est qu'on évite le sentiment de supériorité de ceux qui utilisent Debian. Pour eux, Mandriva, « c'est un clickodrome » alors qu'Ubuntu, c'est cool, « parce que dessous c'est une Debian ». Des fois, je me demande même pourquoi j'ai pas installé une Debian.
Ce que j'aime aussi, c'est qu'il y a une garantie que la distribution restera gratuite. Avec Mandriva, j'avais la garantie qu'elle resterait libre, mais il faut bien se rendre à l'évidence, ça ne sert à rien. Si je choisis une distribution, c'est surtout parce que c'est gratuit, pas parce que je peux aider mon voisin avec.
Enfin, Ubuntu a une stratégie claire. Il suffit de regarder comment fonctionne la communauté Ubuntu : ils utilisent Launchpad. En gros Launchpad, c'est un gros bugzilla qui permet aux divers projets de gérer leurs bugs, leurs traductions, SVN, etc.... Grâce à ça, n'importe quel projet OpenSource peut mettre toutes ses données importantes dans le système Launchpad d'Ubuntu.
Comme Launchpad n'est pas libre, Ubuntu est le seul à avoir ce système. Comme il est pratique, les projets qui l'utilisent donne la primeur à Ubuntu de leur corrections, traductions, etc. Et ainsi, les autres distributions auront des logiciels moins à jour, ce qui ne plaira pas aux utilisateurs, et Ubuntu deviendra la seule distribution. Et je suis sûr qu'une fois le monopole atteint, le milliardaire saura en faire bon usage.
De temps en temps, j'ai des copains qui passent à Linux pour plus de stabilité/sécurité/performances. Seulement, les réflexes issus de leur ancien système d'exploitation sont toujours là....
Voici un petit florilège des questions que seuls les utilisateurs habitués à Windows peuvent poser.
C'est le réflexe Windows par excellence : on a une fuite d'eau, donc on rase la maison.
Sous Linux, les problèmes ont des solutions. Il n'est donc pas nécessaire de tout réinstaller à chaque problème : il est plus rapide de se faire aider sur un forum ou par un ami.
Sous Windows, on défragmente pour rassembler les morceaux de fichiers éparpillés sur le disque dur (fichiers fragmentés). On défragmente donc pour résoudre un problème de Windows (il fragmente les fichiers).
Sous Linux, il n'y a pas (ou peu) de fragmentation, il n'est donc pas nécessaire de défragmenter.
Gardez votre argent pour soigner votre anxiété : il n'y a pas de virus sous Linux.
Il existe pourtant un antivirus pour Linux, mais pour détecter les virus Windows. Il peut être utilisé pour filtrer les virus dans un serveur de mail.
Ce CD-ROM est probablement programmé pour une plateforme Windows. Il est peut être possible de l'utiliser avec Wine (un logiciel qui permet de lancer certains programmes Windows sous Linux), mais ne vous faîtes pas trop d'illusions.
Les systèmes Linux actuels possèdent des systèmes d'installation tellement évolués qu'il n'est pas nécessaire de télécharger des logiciels : ils le font pour vous.
Un utilitaire graphique permet de choisir les logiciels à installer dans une liste pré-définie (plusieurs milliers de logiciels, classés par thème). Une fois choisis, ils sont automatiquement téléchargés et installés.
Enlever son mot de passe administrateur (root) est la plus mauvaise idée qu'on puisse avoir. C'est une faille de sécurité majeure.
Pour ne pas avoir à retaper son mot de passe, il est possible de le mémoriser en cochant une case lorsqu'il est demandé par votre gestionnaire de fenêtres (Gnome ou KDE).
Oui, mais on peut faire mieux.
Pour quoi sauvegarder tout le disque en entier ?
Il suffit de sauvegarder ses données personnelles (/home)
et la configuration de la machine (/etc).
Sur ma machine, ça fait 4,3 Go de sauvegarde en moins.
Vous aussi, devenez "remplacement smoker" : vidéo de Toxic Corp.
Pour quelques minutes encore, aujourd'hui, c'est la
fête du slip.
Le principe, c'est de mettre un logo de slip partout où c'est possible :
mon
préféré.
Source : Mitt
"On a tout essayé", mercredi 3 mai :
Steevy se paume lamentablement en essayant de retrouver le théorème de Pythagore
(programme de 4ème).
Et après, il va venir nous expliquer les causes du désordre économique de la France et pourquoi il faut voter UMP.
Comme quoi tous les jackies n'ont pas forcément des goûts de chiottes : voici le bus Firefox.
Johnny a manifestement apprécié ce qu'il a bu en loge : Johnny avec un coup dans le pif
D'un naturel joyeux, positif et curieux, je m'intéresse à beaucoup de choses parmi lesquels la salsa, l'espéranto, la plongée mais surtout l'informatique, le web et Linux.
Même si j'aime programmer, je m'intéresse également aux aspects d'ergonomie, de design et de marketing.
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